• L'islam et ses relations avec les autres

     

    L'islam et ses relations avec les autres    Certains milieux médiatiques ne cessent de s'accrocher à l'Islam et de l'incriminer de racisme dans ses relations avec les non Musulmans. Ils prétendent que cette dernière religion a contraint un très grand nombre de personnes à s'y convertir, qu'elle pousse ses adeptes à détester les autres et les incite à les provoquer et à les opprimer. Ces milieux ignorent l'Islam et ses prescriptions ou bien ils ont cherché, volontairement, à défigurer ses réalités et sa législation. Qu'ils s'appuient sur l'une ou sur l'autre de ces deux attitudes, il n'en reste pas moins que La Révélation transmise à Mohammed (B.S.D.L) lutte inlassablement contre le racisme. L'Histoire affirme que les fidèles, tout le long de leur immense apport civilisateur, n'ont jamais forcé, ni les peuples ni les individus, à se convertir à leur religion. Ils sont certains, absolument, que la différence des législations entre divers groupements de l'Humanité est une réalité voulue par l'Omniscient et liée à Sa Sagesse. IL l'affirme Lui-même : {A chacun de vous nous avons assigné une législation et un plan à suivre. Si Dieu l'avait voulu, IL aurait fait de vous une seule communauté. S'IL ne l'a pas fait, cependant, c'est pour vous mettre à l'épreuve eu égard à ce qu'IL vous a donné. Rivalisez de vitesse vers les bonnes actions. Vous retournerez tous à Dieu} [5:48]. Si le Tout Clément l'avait voulu, il aurait façonné toute Sa création sur un seul modèle de Musulmans de nature, sans leur accorder les deux actes de choisir et de décider. IL l'évoque de nouveau pour nous : {Si ton Seigneur avait voulu, IL aurait fait des hommes une seule communauté. Or, ils sont en divergence continuelle, sauf ceux à qui ton Seigneur a accordé Sa Grâce} [11: 118-119]. Les Musulmans comprirent que le fait d'orienter l'ensemble des hommes vers le chemin de Dieu est impossible et qu'une grande majorité d'entre eux ne croit pas. Les croyants prirent alors conscience qu'il est de leur devoir de se livrer, corps et âme, à l'explication de l'Islam aux gens, de les faire pencher vers la rectitude et de chercher les causes qui peuvent les convaincre. Le Tout Puissant a informé Ses serviteurs que leur tâche se limite à la communication uniquement et que c'est Lui qui se chargera, le jour de la Résurrection, de punir les récalcitrants. S'adressant à Son messager, il lui confie : {Ô prophète, si les mécréants se détournent de l'Islam, seule la transmission édifiante de celui-ci t'incombe} [16:82] et encore clamé : {S'ils se déclarent Musulmans, ils seront dans la bonne voie; s'ils s'en détournent, tu ne seras pas responsable d'eux. Seule la transmission t'incombe et Dieu voit Ses serviteurs} [3:20] et a conclu : {Si ton Seigneur l'avait voulu, tous ceux qui sont sur terre croiraient en Lui, dans leur totalité. Est-ce à toi de contraindre les hommes à être croyants?} [10:99].

    En principe, l'Islam refuse d'effacer son vis-à-vis et l'annonce avec une clarté manifeste. Dieu a décidé : {Point de contrainte en religion} [2:256] et a insisté : {Dis : «La vérité émane de ton Seigneur. Croie qui le veut, mécroie qui le veut!» Aux injustes, Nous avons préparé un feu dont les flammes les cerneront.} [18:29]  Cette religion n'accepte pas les conversions forcées pour des raisons simples et évidentes. Le converti malgré lui ne risque jamais de devenir un croyant honnête, il ne se sent pas engagé à respecter et honorer les prescriptions divines durant sa vie terrestre, d'ailleurs même s'il les observe, elles ne lui serviront à rien dans l'au-delà. Enfin, cette conversion n'est point conforme à la Sagesse et à la Volonté du Créateur.

    Les historiens affirment que les Musulmans tiennent à se conformer à leurs principes religieux. Le penseur espagnol, Blasco Ibanëz (1867-1928), à écrit dans son livre {L'égarement de l'église} parlant de la conquête de l'Espagne par les Arabes : «Les Espagnols ont chaleureusement accueilli ces hommes qui sont venus du continent africain. La crise que traversait le pays a poussé les habitants à leur ouvrir leurs cités et villages, sans heurts ni hostilité. Dès qu'une petite troupe de cavaliers arabes s'approchait d'une agglomération, les portes de celle-ci s'ouvraient devant ces hommes qui n'étaient pas des soldats, au vrai sens du mot et qui étaient accueillis avec courtoisie. Les enfants de cette civilisation – arabe – ne censurèrent jamais la liberté de conscience, cette dernière étant une des bases fondamentales de la magnanimité des peuples. Ils acceptèrent dans les villes qu'ils administraient, sans problème aucun, les églises des Chrétiens et les synagogues des Juifs. La mosquée n'a eu, à aucun moment, peur de la concurrence des autres lieux de dévotion qui s'y trouvaient avant elle. Elle – la mosquée- leur a reconnu leurs droits et s'est installée dans leur proximité, sans envie et sans vouloir les dominer.» [1]

    D'autre part, l'historien anglais, Sir Thomas Arnold, a observé dans son livre {L'invitation à l'Islam} :«Depuis le premier siècle de l'hégire, les Musulmans, après leur triomphe, se sont comportés avec les Chrétiens avec une tolérance immense sans changer d'un iota leur attitude durant les siècles qui suivirent. Nous pouvons affirmer, sans risque de nous tromper que les Chrétiens qui se sont convertis à l'Islam l'ont fait après un choix judicieux et avec une liberté totale. L'existence d'une minorité des Arabes chrétiens qui vivent, à présent, au sein des sociétés musulmanes, en toute sécurité, fournit une preuve éclatante de cette tolérance.» [2]

    L'orientaliste allemande Sigrid Hunke a écrit : «Jamais, les Arabes n'ont forcé les peuples vaincus à adopter l'Islam, comme religion. Les Chrétiens, les Zoroastriens, les Juifs qui avaient subi, auparavant, des formes de fanatismes religieux, abjectes et immondes, furent, tous, autorisés, sans aucun obstacle, à pratiquer leurs dévotions. Les Musulmans ne touchèrent à aucun lieu de culte et conservèrent aux prêtres, curés et autres rabbins leurs postes. Ces cadres religieux étaient respectés et personne n'osa un jour leur nuire. N'est-ce point là le pic extrême de la tolérance? L'Histoire a- t-elle consigné des positions pareilles? Quand?» [3].

    La véritable raison de la propagation de l'Islam réside dans son indulgence et son respect des opinions et convictions d'autrui mais non pas dans sa pseudo violence. En vérité, les nations ont reconnu aux Musulmans leur générosité, leur coexistence pacifique et leur relation bienveillante, contrairement à ce que prétendent, faussement, leurs adversaires. Voici de nouveau ce que Gustave Le Bon a couché par écrit : «La force n'a jamais été la cause de la divulgation du Coran. Les Arabes ont laissé les vaincus pratiquer librement leurs religions. Si certains peuples chrétiens se sont convertis à l'Islam et qu'ils ont appris la langue arabe – pour les besoins de la dévotion – c'est parce que les Musulmans ont fait preuve de justice réelle et applicable à tous les sujets : c'était une situation que les autochtones n'avaient jamais vécue. En outre, l'Islam est d'une facilité qui étonne et attire les non Musulmans et est introuvable dans les autres religions.» [4] Il continue : «Les historiens n'ont pas connu la mansuétude des conquérants arabes et leur humanité. Ces qualités étaient les causes authentiques de la rapide extension de l'Islam et la facilité de persuader les autres de la portée réelle de leurs croyances et de leur langue…. Dans tous les cas, les nations n’ont jamais interagit avec un peuple aussi miséricordieux et aussi tolérant que les Arabes et n'ont jamais connu une religion aussi humaine.»[5]

    L'historien W Durant partage la même conviction que Le Bon. Il a exposé : «Malgré la conduite tolérante que suivaient les premiers Musulmans ou à cause de ce comportement, une grande partie des Chrétiens, tous les zoroastriens et les païens se sont convertis à la nouvelle religion, à l'exception d'un nombre restreint. L'Islam a envahi les cœurs d'une centaine de peuples de la Chine et l'Indonésie jusqu'au Maroc et l'Andalousie, il s'empara de leur imagination, domina leur moral, façonna leur mode de vie et fit naître en eux un espoir qui allège, pour eux, les souffrances et les malheurs de ce monde.» [6]

    Cette tolérance découle des prescriptions coraniques, le croyant s'engage à la pratiquer et à l'honorer car Dieu a recommandé : {Dieu ne vous interdit pas d'être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures. Dieu aime les équitables} [60:8]. Deux vertus ressortent de ce verset. La jouissance de tous leurs droits à l'ensemble des personnes non musulmanes qui n'ont pas combattu les Musulmans et n'ont pas participé à leur agression.

    Premièrement : agir avec bienfaisance et charité. Cette action est recommandée par le Coran, son esprit est présent dans plusieurs lois islamiques qui furent à la base de nombreuses attitudes pleines d'humanité et de compassion. Le Livre sacré enjoint les croyants à la bonne compagnie et à la visite des proches, même si les convictions religieuses des uns et des autres sont différentes. Il a, particulièrement, insisté sur les relations entre enfants et parents, même dans le cas où les seconds exigent des premiers de renier le monothéisme pour retourner au polythéisme. Cette exigence ne doit pas détourner les fils et les filles de leurs procréateurs comme le veut le verset suivant : {Mais si tous les deux te forcent à M'associer ce dont tu n'as aucune connaissance, ne leur obéis pas. Cependant, reste avec eux, ici-bas d'une façon convenable} [31:15]. La fille d'Abou Bakr Es-Saddîq, Esmâ' est allée voir le prophète et lui demanda : «Ma mère vient d'arriver à Médine l'illuminée, elle est venue de la Mecque l'honorée pour me voir et tu sais, ô messager d'Allah, qu'elle est encore païenne! Dois-je la voir ou lui refuser de me rendre visite?» Il lui répondit : «Reçois ta mère et sois très bonne avec elle!» [7]. Pour bien démontrer sa charité, le Musulman est tenu de rendre visite aux malades qui ne professent pas la même religion que lui. Le prophète nous a donné l'exemple en allant voir son oncle, Abou Tâlib, sur son lit de mort et se rendit à la demeure d'un de ses voisins, malade. Le premier ne s'était pas converti et est demeuré polythéiste [8] et le second était Juif [9]. Concernant celui-ci, Mohammed s'était assis près de sa tête, c'était une coutume arabe qui exprimait du respect à l'intention du visité. L'envoyé du Seigneur a offert des cadeaux à certains de ses adversaires et a cédé à d'autres personnes non musulmanes des dons adoucissant les cœurs et effaçant la haine. Il a apporté à Abou Soufiâne, dans la Ville Sainte, des dattes El-‘adjwah [10] et lui a adressé une correspondance depuis Médine l'illuminée pour essayer de le gagner à l'Islam [11]. Il a aussi accepté des cadeaux, celui du chef suprême de l'Egypte, El-Mouqawqîsse, du roi d'Eliat et du chah de la Perse [12].

    Sur le plan social, il a répondu positivement à une Juive, Zaïnab bint El-Hârith, qui l'avait invité à manger avec la famille de celle-ci un méchoui dans la ville de Khaïbar [13]. Une réponse similaire fut adressée à autre Juif qui l'avait prié de partager avec lui une galette de blé et une sauce au goût agréable et à l'odeur, fétide. [14]

    Deuxièmement : La seconde vertu qui ressort à partir du verset d'El-Moumtahinah c'est la justice. Elle est l'une des qualités morales que l'Islam tient à protéger et à graver, définitivement, dans les esprits des croyants, car elle sauvegarde les bonnes traditions. Elle représente un objectif facile à concrétiser car les Musulmans qui connaissaient, comme tout le monde, la fraternité au sein d'une même famille, en ont établi un autre genre plus fort que l'ancienne. Cette nouvelle fraternité se fonde sur la religion et donc sur la générosité et la miséricorde.

    Cependant, la sincérité de l'amitié apparaît lorsque les convictions religieuses des amis sont différentes et que leurs intérêts sont opposés. Aussi l'Islam prône-t-il la justice entre tous les hommes en insistant, particulièrement, de ne pas la négliger à l'égard des gens qui vivent sous l'ombre de l'Etat musulman et qui peuvent être accusés à tort, à cause de la dissemblance et de la peur. Dieu a ordonné : {Ô croyants soyez stricts dans vos devoirs envers Dieu, en témoins de l'équité! Que la haine d'un peuple ne vous incite point à user d'injustice! Soyez justes car cela est très près de la véritable piété. Craignez Dieu, car Dieu est parfaitement au courant de vos actes} [5:8].

    Le docteur N. Luka a écrit : «Je ne vois pas une législation plus apte à inviter à l'application de la justice et à lutter contre le fanatisme et le fait de causer des dommages à autrui que celle qui recommande : {Que la haine pour un peuple ne vous incite point à être injustes! Pratiquez l'équité : cela est très près de la véritable piété.} [Portion du verset 8 d'El-Maida] Existe-t-il un homme, au vrai sens du mot, qui veut, après cette information, ennoblir son âme mais qui ne fait pas sien ce principe ou qui pratique une religion qui manque de noblesse et de droiture?» [15].

    Les preuves de la justice des Musulmans vis-à-vis de leurs administrés non Musulmans bénéficiant de l'assurance de leurs personnes et de leurs biens sont nombreuses. L'Etat les leur garantit. Citons, à titre d'exemple, le litige entre un Juif et entre le quatrième khalife orthodoxe, Ali ibn Abî Tâlib à propos d'une cuirasse que ce dernier avait perdue et qu'il a retrouvée chez le Juif en question. Ibn Abî Tâlib déposa une plainte auprès du juge Chouraïh El-Qâdhî. Après l'audition des deux intéressés, le magistrat trancha l'affaire en faveur du Juif. Celui-ci déclara : «J'affirme que c'est là la sentence des prophètes! L'émir des croyants me traduit devant le juge qu'il a lui-même nommé et qui dépend de son autorité puis le fonctionnaire me donne raison au dépend de son chef suprême. Je témoigne qu'il n'y a d'autre dieu qu'Allah et je témoigne que Mohammed est Son Messager. La cuirasse est, effectivement, à toi, ô émir des croyants. J'avais suivi ton armée avec laquelle tu te dirigeais vers Saffîne[16] quand ta cuirasse est tombée de ta monture au pelage gris cendré.» Ali lui répondit : «Je te l'offre puisque tu reconnais la vérité et que tu viens de te convertir à l'Islam.» [17]Pour faire ressortir encore davantage la justice de l'Islam à l'encontre des gens qui ne professent pas la même religion que leurs gouvernants, rappelons l'accroc survenu entre un Copte et le fils du gouverneur de l'Egypte, ‘Amr ibn El-‘Asse. Le premier fut maltraité, physiquement, par le second. L'Egyptien se rendit à Médine l'illuminée et porta plainte à Omar ibn El-Khattâb qui convoqua ‘Amr et son fils. Après avoir écouté la thèse des deux antagonistes, le khalife donna raison au Copte et, mettant en vigueur la loi du talion, il ordonna au plaignant de se venger de la même façon qu'il avait subie. A cette occasion, Omar articula ces mots que la postérité a gardés et qui sont devenus comme une sentence proverbiale : «Pour quelle raison avez-vous assujetti les gens alors que leurs mères les ont enfantés libres.» [18]

    Des comportements magnanimes pareils poussèrent le patriarche de Jérusalem à écrire à son homologue, le patriarche de Constantinople : «Ils -les Musulmans- se caractérisent par la justice, réelle et ne nous ont jamais tyrannisés ou employé avec nous une quelconque sorte violence.» [19] Si ces détracteurs étaient impartiaux, ils auraient répété avec Gustave Le Bon : «L'Islam est la religion la plus propice aux découvertes scientifiques, la plus convenable pour l'éducation des âmes et la plus disposée à établir la justice, la générosité et la tolérance.» [20] Le docteur Lewis Young, avait raison de dire, dans son livre {Les Arabes et l'Europe} :«Il y a encore beaucoup de choses que l'Europe ne cesse encore, de nos jours, d’apprendre de la civilisation musulmane, telles l'indulgence et le fait de ne pas tenir compte de la religion d'une personne, de son origine ou de sa peau.» [21]

    Ainsi donc, les écrits et l'histoire démontrent que l'Islam est loin des gens malveillants qui lui reprochent de cultiver le racisme religieux. Au contraire, l'Islam a donné un modèle unique de civilisation qui passionne les hommes et qu'ils appellent de tous leurs vœux. Aujourd'hui, l'Humanité en sent un grand besoin. Les campagnes de dénigrement dirigées contre cette religion sont crées et ordonnées par les promoteurs du choc des civilisations et qui ne cessent d'énumérer les dangers que porte la civilisation islamique.


    Extrait du livre : Découvrez l'Islam.
    Par le Dr. Mounqidh Es-Saqqar.

    L'islam et ses relations avec les autresNOTES DE PAGE :

    [1] : Extrait du livre : Fannou El-Houkm fî El-Islâm =L'art de gourener en Islam de Mustapha Abou Zaïd Fahmî. Le traducteur n'a pas, dans cette citation de l'auteur espagnol, trop respecté le mot à mot mais a rendu, avec toute l'application nécessaire, l'idée du penseur, comme il l'a comprise. (N.T)

    [2] : L'invitation à l'Islam. (51)

    [3] : Le soleil d'Allah brille sur l'Occident (364).

    [4] : La civilisation des Arabes (128)- O.C.

    [5] : La civilisation des Arabes (605)- O.C.

    [6] : Histoire de la civilisation (13/133)

    [7] : Cité par El-Boukhari sous le N° 2620 et par Mouslim sous le N° 1003.

    [8] : Cité par Ahmed sous le N° 2009 et par Et-Tarmizî sous le N° 3232.

    [9] : Cité par El-Boukhârî sous le N°1356.

    [10] : Catégorie de dattes rares, très appréciées et qui ne poussent que dans Médine l'illuminée (N.T)

    [11] : Cité par Ibn Zandjawaïh dans son livre El-Amwâl (2/859).

    [12] : Cité par El-Boukhârî sous le N° 1482 et par Ahmed sous le N° 749.

    [13] : Cité par El-Boukhârî sous le N° 2617 et par Mouslim sous le N° 2190.

    [14] : Cité par Ahmed sous le N° 12789.

    [15] : Mohammed : La mission et le messager (26).

    [16] : Endroit où s'est déroulée une bataille décisive entre Ali et Mou‘awiyah ibn Abî Souffiâne. (N.T)

    [17] : Voir les 2 livres : Hilyatou El-Awlyâ'(4/141) et El-Bidâyah wa En-Nihâyah(8/4-5).

    [18] : Voir les 2 livres : Târîkh Omar d'Ibn El-Djawzyah (129-130) et Foutouh Misr d'Ibn El-Hakam (195)

    [19] : Le soleil d'Allah brille sur l'Occident –(364) O.C.

    [20] : La civilisation des Arabes (126)- O.C

    [21] : Ce qu'ils ont dit à propos de l'Islam de ‘Imâd Ed-Dîne Khalîl - O.C - (326).

     


  • Commentaires

    1
    Lundi 24 Octobre 2011 à 06:50
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